Le second procès (c'est-à-dire en appel) qui s'est déroulé en Mars 2009 m'a incité à remettre en ligne ces quelques précisions concernant le stupide, horrible et particulièrement cruel accident survenu en Novembre 2003 dans la grande cale sèche du Chantier de St-Nazaire. Ce désastre illustre parfaitement le proverbe disant:
-"Qui peut le plus peut le moins." Mais ce n'est pas vrai! Le Chantier de St-Nazaire n'a aucun besoin de prouver qu'il sait faire beau, grand, solide, "hight-tech" et "tutti quanti"... Avec son cousin Italien Fincantieri, St-Nazaire reste l'un des meilleurs chantiers navals du Monde, tout le monde le sait!
Après avoir montré à mon bord, comment il est encore possible de se faire sauter la gueule tous ensemble bêtement avec du nitrate d’ammonium, voici comment tomber de très haut entre le quai et le navire, sans eau de surcroît. C'est peut-être aussi cela, l'Air du Temps Maritime en 2009...
Je cite ici "Mer et Marine" (du 8 Octobre 2007) car ils l'ont raconté mieux que moi, en tant que bon "pro" du journalisme sérieux:
-"Le 15 novembre 2003 il pleut sur Saint-Nazaire mais l'ambiance est à la fête. Le Queen Mary 2, plus grand paquebot du monde et fierté de toute la région, est de retour de ses essais mer. Cinq semaines avant sa livraison, le liner est ouvert au public. Les salariés des Chantiers de l'Atlantique, les sous-traitants et leurs familles se pressent à son bord pour découvrir le fleuron de la construction navale française. Le navire est en cale sèche au bassin C lorsqu'à 14h20 une passerelle d'accès s'effondre. Massés sur cette structure posée la veille une cinquantaine de personnes dont des enfants, font une chute de 25 mètres. Le plan rouge est immédiatement déclenché et les hôpitaux se mobilisent alors que des dizaines de pompiers affluent vers le chantier. Le bilan est dramatique. On dénombre 15 morts et 32 blessés. Quelques semaines plus tard, une seizième victime décède. Pour Saint-Nazaire, dont l'histoire n'avait jamais été marquée par une telle catastrophe, le choc est immense."
Citation (Mer et Marine): "Quatre ans plus tard, le procès de la passerelle du Queen Mary 2 s'ouvre aujourd'hui devant le tribunal correctionnel de Saint-Nazaire. Il s'agit durant près de trois semaines de déterminer les responsabilités qui ont conduit à la catastrophe. Dix prévenus ont été renvoyés pour "homicide et blessures involontaires". Deux personnes morales comparaissent, Chantiers de l'Atlantique (la structure juridique conservée par Alstom pour gérer les litiges antérieurs à la cession de sa branche marine à Aker Yards) et Endel, le sous-traitant qui avait posé la passerelle. Huit personnes physiques seront également jugées, quatre cadres d'Endel et quatre autres des CA. Travaillant toujours aux chantiers, ces derniers ont été détachés de leurs activités par Aker Yards pour la durée du procès. Face à eux, une centaine de parties civiles devraient être représentées. Après l'examen des faits cette semaine, les victimes s'exprimeront devant le tribunal la semaine prochaine. Le procès sera largement couvert par la presse notamment nationale. La salle du tribunal étant trop petite, une annexe a été aménagée avec un écran permettant de suivre les débats."
(Fin de citation)
Qu'est-il vraiment arrivé? Faut-il vraiment blâmer les personnes mises en cause? "No sé". Mais tout de même, sans faire quelques grosses conneries, rien ne serait arrivé car "ça" n'arrivait pas "avant"...
Le Batillus, plus Grand Navire du Monde, en cours de montage.
(seul le Jahre Viking fut plus grand, quelques années après)
(seul le Jahre Viking fut plus grand, quelques années après)
Comme tout le monde je fus consterné par cet horrible accident, mais aussi je fus saisi de stupeur. Comment était-ce possible? Et, est-ce encore possible? Je me suis posé cette question pour en connaître un petit peu le contexte. En 1984 j'ai participé au "neuvage" du navire ci-dessous montré, le bel Etienne Denis devenu plus tard Sherbro. Il fut surnommé le porte-conteneurs "transexuel" par un hebdomadaire maritime lors de la fusion totale de mon employeur la Cie de Navigation Denis Frères dans la Sté Navale Chargeurs Delmas Vieljeux. Etienne fut en effet rebaptisé Ursula Delmas, ce qui amuserait s'il n'y avait pas eu (encore) une distribution de tickets vers l'ANPE... Et oui, ce seul navire en remplaça deux, en étant à lui seul capable des faire "deux fois plus" que les St-Paul et St-François.
A son tour la "Delmas" vient d'être comme dévorée crue par la CMA-CGM de Marseille.
Le bel Etienne Denis (ou Ursula Delmas) faisait partie d'une série de quatre PC conçus sur le même modèle. Il en fut le troisième. Les Thérèse et Véronique Delmas, l'Etienne Denis et le Yolande Delmas naviguaient encore en 2008. Si l'US Navy en a acheté deux pour faire partie de sa flotte de réserve civile, cela vous confirmera que ce n'était pas "de la camelote".
Ils étaient superbes et ils bénéficièrent à l'occasion de quelques "figures de style" audacieuses en matière d'architecture navale, par exemple un volume intérieur en "place du village" au centre du château. Ceci donnait à ces porte-conteneurs un petit genre de paquebot. Ceci eut beaucoup de succès d'estime malgré le fait que c'était peu fonctionnel pour un cargo. Enfin, c'était très beau et il fallait aussi essayer cela avant de juger. La télévision est plusieurs fois venue à bord les voir, Thalassa pour ne citer qu'eux.
C'était en effet quelques années avant que les Chantiers de l'Atlantique ne recommencent à réaliser des paquebots. Le "Sovereing of the Seas" fut aussi une belle réussite, ils en ont d'ailleurs fait trois sur ce modèle entre 1987 et 1989. Pour les aménagements, le chantiers et ses partenaires sous-traitants s'étaient d'abord "fait les dents" sur la série des quatre PC "Thérèse Delmas" car il y avait déjà bien longtemps qu'on ne faisait plus de paquebot à St-Nazaire.
A la fin du montage de l'Etienne Denis une bonne partie de son équipage est venu sur place pour les essais en mer, pour veiller aux derniers travaux de finition et tout simplement pour en prendre livraison. Il faut être soi-même impliqué là-dedans pour bien se rendre compte de ce qu'est la fin de la construction d'un navire. C'est "du sport"!
A Saint-Nazaire on ne lance plus les navires depuis les années soixante. Cela se fait d'ailleurs de moins en moins dans le monde car la construction navale moderne est de moins en moins un "art", ce qu'elle fut longtemps autant qu'une industrie. Elle a souvent renoncé à ces opérations très spectaculaires (et parfois dangereuses) qui faisaient tant plaisir aux foules des bonnes villes de Nantes, La Ciotat ou Dunkerque, pour ne rien dire des autres pays.
Un Chantier Naval, c'est d'abord une industrie lourde qui sait garder un "côté artisanal", car c'est la réunion de quelques dizaines de corps de métier tous différents qui travaillent tous ensemble de façon comparable à un orchestre symphonique, il faut bien s'organiser et bosser "de concert", c'est le cas de le dire. Sinon la "fausse note" arrive vite...
La fin des travaux est souvent l'occasion d'accidents idiots en général sans gravité, car cela se passe toujours dans une ambiance de précipitation. Tout le monde commence alors parfois à "se monter sur les pieds". C'était déjà assez stressant à cette époque et l'est encore plus aujourd'hui. Ceci me fut confirmé de vive voix en 2003 à cette occasion douloureuse.
Lorsque le navire est achevé, tout le monde "cavale dans tous les sens" avec cartons et colis les plus divers en mains, et tous les emballages "abandonnés" peu après l'ouverture des cartons doivent donc être ramassés et débarqués vite et bien, car cela multiplie les risques d'incendie... Le Monarch of the Seas en a su quelque chose, lors du premier incendie grave survenu à St-Nazaire en plus de 90 ans, si je me souviens bien. Les "petites sources" d'accidents ne manquent donc pas, dans un chantier naval.
(photo pompiers d'Odense)
Par exemple "ça et là" des portes coupe-feu "doivent" être maintenues ouvertes, juste assez longtemps pour laisser le passage libre aux "hommes de l'art" aux mains pleines etc... Durant cette période, les farces les plus stupides peuvent donc arriver.
Rien que pour trier les clefs, les "doubles" et les "passe-partout" de tous les locaux de l'Etienne Denis, je me souviens que cela dura la journée entière de 08h00 jusqu'à 21h00 en étant deux. Vous imaginez un peu le bazar avec un paquebot? (le plus grand du monde de surcroît)
Lorsque enfin les invités vont venir à bord pour la visite et le pot du baptême, il faut absolument que tout soit propre, clair et net! Pour l'Etienne Denis c'était recevoir plus de deux cent "pingouins". Ce porte-conteneurs était prévu pour en faire vivre 25 à son bord, mais sa taille permet d'en recevoir beaucoup plus pour le visiter sans problème. Il suffisait de laisser en place deux des très larges "planchons" classiques du chantier en place. Ces passerelles de passage sont constituées par des membrures d'acier solides comme la charpente du bateau.
Lorsque un navire est dans sa cale sèche entièrement vidée, par définition il ne peut pas bouger! Il repose comme une maquette sur un meuble. En d'autres termes un accident avec l'un des planchons d'accès (ou une passerelle) me semblait à priori absolument impossible d'où ma stupeur ce jour-là. Pour moi comme pour d'autres, c'était impossible.
Encore faut-il SAVOIR pour Comprendre. Le bassin était asséché depuis peu et comme d'habitude en les circonstances, tout le monde était plus ou moins "emportés" par l'atmosphère de fête et par le "plus vite! Plus vite"! Le moment du grand "Ils arrivent!!" n'allait pas tarder et il semble bien que... Le nombre des invités se révéla soudain beaucoup plus important que c'était prévu à l'origine, j'ignore (comment pourrais-je le savoir?) pourquoi. Pour le plus grand paquebot du monde, il est sûr qu'ils allaient être beaucoup plus nombreux que pour un cargo...
Nous savons donc qu'il a fatalement été nécessaire dans l'urgence de faire installer au moins un accès de plus à bord. Ce fut demandé inévitablement dans l'urgence (aussi) par quelques décideurs survoltés, qui se sont aperçus ne pas disposer d'assez de grands "planchons" classiques "à portée de la main".
Au procès le responsable du chantier mis en cause a déclaré que le sous-traitant fournisseur n'avait pas fait installer ce qui lui était demandé, à savoir une passerelle de grande capacité, mais que celui-ci leur installa ces "trucs rachitiques" en tubes que nous avons vus en photos et qui m'ont tant surpris.
(je n'ai pas vu ce genre de "chose" là-bas à l'époque, en 1984)
Le fournisseur a répliqué:-"Au fou! Vous montez à plus de 45 sur un petit planchon d'accès conçu seulement pour passer en file indienne avec des colis léger!"
(ben oui, effectivement...)
A mon sens ils ont raison tous les deux. Tel fut le résultat d'un stupide malentendu dû à la précipitation. Mais le problème n'était pas "seulement" là. Il y avait par nécessité pour la Sécurité (!!) un système de contrôle d'accès par badges électroniques...
Pourquoi a-t-on ainsi installé ça à bord au niveau d'un sabord ouvert sur le flanc de la coque? Cela obligeait de fait les gens à rester trop nombreux en une file d'attente plus ou moins remuante sur cette fragile passerelle, avec tous les risques que cela supposait.
Ce genre d'accès à bord me fout les jetons. Pour passer un par un oui,
mais faire attendre là-dessus quatre dizaines de pingouins...
mais faire attendre là-dessus quatre dizaines de pingouins...
Est-il si prudent de provoquer une file d'attente de plus de quarante personnes sur un "truc pareil"?
Tout ça pour contrôler un badge à "l'entrée" à bord. Nous marchons sur la tête! Ceci ne peut arriver qu'avec une commande effectuée dans l'urgence par téléphone à un sous-traitant.
Tout ça pour contrôler un badge à "l'entrée" à bord. Nous marchons sur la tête! Ceci ne peut arriver qu'avec une commande effectuée dans l'urgence par téléphone à un sous-traitant.
D'autre part un contrôle d'accès sous cette forme s'imposait-il vraiment? Ou bien... Pourquoi ne l'a-t-on pas installé sur le quai? (tout simplement) Cette passerelle était à l'évidence fragile, voyez les photos. Il n'y a toujours pas de réponse à ces questions, sauf... La précipitation, toujours la précipitation.
En plus de ces morts horribles et de ces blessures terribles, quelques responsables se partagent depuis ce jour infiniment douloureusement, une responsabilité qui de fait ne leur appartient pas entièrement. Mais ils ne peuvent aujourd'hui que se renvoyer la balle, c'est terrible, ça aussi.
On ne prend plus aujourd'hui, assez de temps pour réfléchir. Le paradoxe est aussi que cet accident nous a montré qu'organiser la venue de nombreux invités à bord d'un navire immobilisé, cela s'est révélé plus difficile et surtout plus dangereux que sa construction entière. Celle-ci se déroula en effet sans un seul accident grave, on l'a trop oublié...
Pour un navire de ce niveau technique et de cette taille, c'est au moins un peu "fort de café". Et Dieu sait que des charges lourdes, on en manipule "quelques unes" durant le montage...
En plus de ces morts horribles et de ces blessures terribles, quelques responsables se partagent depuis ce jour infiniment douloureusement, une responsabilité qui de fait ne leur appartient pas entièrement. Mais ils ne peuvent aujourd'hui que se renvoyer la balle, c'est terrible, ça aussi.
On ne prend plus aujourd'hui, assez de temps pour réfléchir. Le paradoxe est aussi que cet accident nous a montré qu'organiser la venue de nombreux invités à bord d'un navire immobilisé, cela s'est révélé plus difficile et surtout plus dangereux que sa construction entière. Celle-ci se déroula en effet sans un seul accident grave, on l'a trop oublié...
Pour un navire de ce niveau technique et de cette taille, c'est au moins un peu "fort de café". Et Dieu sait que des charges lourdes, on en manipule "quelques unes" durant le montage...
Bien navicalement - Thierry Bressol - OR 1
Chantiers navals. C. Comme sur des roulettes ! (à Rouen en 1978)
Merci aux sites:
Le Queen Mary II avec Wikipedia et le Chantier du QM II
http://www.linternaute.com/mer-voile/moteur/chantier-du-queen-mary-2/l-atlantique-une-reference.shtml
Le QM II galerie de photos
http://www.worldshipny.com/qm2photoessay.htm
Ship Nostalia pages Queen Mary 2
http://www.shipsnostalgia.com/showthread.php?p=320265
Réponse à commentaires reçus:
Les gens d'un Chantier Naval ont ceci "de plus" que beaucoup d'autres entreprises, ils sont toujours très heureux et fiers de montrer le fruit de leur délicat travail, lorsqu'il est achevé. A ce stade des travaux, une atmosphère festive s'installe peu à peu, qui demande peut-être un surcroît de vigilance supplémentaire...
(que je regrette d'avoir accidentellement perdus, autant pour moi) La méticuleuse vigilance des gens du Chantier de St-Nazaire à tous les niveaux comme à chaque stade des travaux n'est plus à prouver, j'aime autant vous le confirmer! Cela dit le "problème" de ce jour-là était un peu biaisé car les travaux étaient terminés ou plus exactement, ils furent trop vite considérés comme tels...
Le jour du baptême de l'Etienne Denis, une caisse d'outillages à débarquer est tombée entre le quai et le bateau à la suite d'une fausse manoeuvre avec une grue du bord. Quelques années plus tard le paquebot "Monarch of the Seas" presque entièrement achevé a soudain pris feu sans faire de victime, mais ce fut un véritable désastre technique. C'est arrivé à la suite d'un problème de stockage des emballages vides en carton...
"Monarch of the Seas". Il fut le second du genre,
après le "Souverain" et avant le "Majesty of the Seas".
après le "Souverain" et avant le "Majesty of the Seas".
Pour "tenir le délai" de livraison compromis, il fallut découper la coque du troisième "Sovereing of the Seas" en cours de montage, lui "piquer" de nombreux blocs préfabriqués pour les poser à la place des éléments détruits du "Monarch". Et devoir refaire toutes les grosses pièces prélevées du "Majesty" en même temps! C'était très fort, car aucun des deux ne fut livré en retard et il n'arriva plus rien de notable...
La fête inaugurale du Queen Mary II fut irréparablement et terriblement gâchée. La seule consolation est que son exploitation se révèle un franc succès, comme s'il tentait d'effacer cet horrible début de carrière.
Queen Mary II jugement en délibéré au 2 juillet (le 6 Avril)
Queen Mary II - Procès en appel à Rennes (le 23 Mars)
Le Premier Procès (Octobre 2007)
L’ancien patron des Chantiers de l’Atlantique en examen
Mr Boissier reçoit le soutien du Cluster Maritime Français (le 27 Mars).
Nous savons bien qu'en Chine, on sait faire de l'Excellence. Mais quand des entreprises qui n'ont jamais fait cela "s'improvisent" (je crois que c'est le mot qui convient) soudain Chantiers Navals, il n'y a pas de miracle...
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=107793
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=107793
Ce chantier là est en Chine, nul besoin d'être un expert pour se douter que la sécurité ici...
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=75
"Un monde moderne..."
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=584
(documentaire consacré aux excès de la sous-traitance)
Note personnelle:http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=75
"Un monde moderne..."
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=584
(documentaire consacré aux excès de la sous-traitance)
Cet accident met en évidence les excès de la sous-traitance et de l'externalisation à outrance. C'est en effet une "méthode de management" très à la mode depuis des années dans presque toutes les activités économiques. En 2009, même les hôtels (certaines chaînes telles que Acor par exemple) font faire le ménage dans les chambres par une entreprise extérieure. N'est-ce pas un abus? Il a fallu que les pauvres filles venues d'Afrique Noire payées au lance-pierres nous "fassent un scandale" il y a quelques années pour que cela se sache enfin.
Qui décide et qui laisse faire ? Pourquoi cette mise en concurrence forcenée ? Les entreprises ne devraient pas avoir le droit d'externaliser tout et n'importe quoi jusqu'à, ce qu'il faut bien appeler des excès. On finit ainsi après chaque accident, par ne jamais savoir "de qui c'est la faute", tout simplement parce que ce n'est pas possible. Il me semble que c'est parfois délibéré et c'est inadmissible.
Les entreprises font trop souvent "tout ce qui leur plait" et les résultats sont en général fort peu sympathiques. Ca n'arrive pas "que" dans le monde financier ou dans l'immobilier.
Bien navicalement - Thierry Bressol - R/O
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